Date de saisie de l'information
23.10.2014
Recommandations sur sérothérapie et don de sang
Auteur de la fiche
Alain Epelboin
Cette information concerne-t-elle directement le réseau RAEE ?
Non
Rubrique
- Policy Briefs
Description
J’ai eu l’occasion de discuter de la sérothérapie et surtout du don de sang à l’AVIESAM/INSERM avec JF Delfraissy, B Murgue & co qui pilotent les essais thérapeutiques français, dont la sérothérapie. Je suis intervenu pour dire :
– que le don de sang est un acte qui n’est pas anodin, partout, mais en particulier en Afrique (cf. sorcellerie et principe vital)
– que le don de sang devait rester gratuit selon la législation en vigueur
– que le lieu de traitement et la destination des sérums devait être clairement définie, en s’appuyant sur l’expérience des Banques de sang nationales
– que les prélèvements devant être réalisés à distance de la sortie de l’hôpital pour attendre la montée des anticorps, il faut s’assurer de ne pas perdre de vue les personnes et de savoir les motiver au-delà d’un consentement altruiste.
– il faut pouvoir suivre au moins à moyen terme ces personnes en gardant la possibilité d’intégration dans une cohorte de recherche fondamentale.
1. assurer une couverture sanitaire de la personne et de sa “famille” (à définir), par le règlement de cotisations à une mutuelle ou assurance professionnelle (si chères aux experts internationaux), et/ou
2. employer ces personnes selon leurs disponibilités et compétences, et/ou
3. identifier parmi ces personnes des individus qui comme dans le sida bénéficierons de l’ascenseur social de la promotion de la santé par des ONG et autres institutions internationales
– que le don de sang est un acte qui n’est pas anodin, partout, mais en particulier en Afrique (cf. sorcellerie et principe vital)
– que le don de sang devait rester gratuit selon la législation en vigueur
– que le lieu de traitement et la destination des sérums devait être clairement définie, en s’appuyant sur l’expérience des Banques de sang nationales
– que les prélèvements devant être réalisés à distance de la sortie de l’hôpital pour attendre la montée des anticorps, il faut s’assurer de ne pas perdre de vue les personnes et de savoir les motiver au-delà d’un consentement altruiste.
– il faut pouvoir suivre au moins à moyen terme ces personnes en gardant la possibilité d’intégration dans une cohorte de recherche fondamentale.
1. assurer une couverture sanitaire de la personne et de sa “famille” (à définir), par le règlement de cotisations à une mutuelle ou assurance professionnelle (si chères aux experts internationaux), et/ou
2. employer ces personnes selon leurs disponibilités et compétences, et/ou
3. identifier parmi ces personnes des individus qui comme dans le sida bénéficierons de l’ascenseur social de la promotion de la santé par des ONG et autres institutions internationales
Fin de validité de l'info / de l'évènement
23.10.2014
Pays
- France
Pour en savoir plus... lien internet
https://www.ecoanthropologie.fr/fr/annuaire/epelboin-alain-6060
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